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Chères et chers participants,
voici la transcription du texte des devoirs si vous avez vraiment de gros problèmes pour comprendre le texte audio:
Transcription p. 70 ex. 1b Écoutez et retrouvez son nom en français
Vivre sur la Côte-Nord de l’estuaire du Saint-Laurent et ignorer la beauté des baleines, c’est possible... jusqu’au jour où l’on voit le premier souffle de baleine. Chaque été, de juin à octobre, une quarantaine de rorquals visitent le Saint-Laurent à la recherche de nourriture, sans oublier les 500 bélugas, ces petites baleines blanches qui vivent là toute l’année. Mais baleines et dauphins souffrent des activités humaines. Au XIX siècle, c’était la chasse. En 1986, le Canada a signé un accord qui interdit la chasse à la baleine pour des raisons commerciales, accord que le Japon, la Norvège et l’ex-URSS ont refusé. Mais il n’y a pas que la chasse, il y a les bateaux, les filets, les plongeurs qui, pour s’amuser, s’accrochent aux nageoires des baleines, et surtout la pollution. De même, l’observation des baleines est devenue un loisir populaire, mais il faut là aussi faire attention à ne pas les déranger pendant qu’elles mangent ou se reposent, car elles vont peut-être aller ailleurs. La popularité grandissante des baleines a sensibilisé les Canadiens comme les étrangers de passage aux dangers qui les menacent. Mieux les connaître pour mieux les protéger, connaître leurs comportements sociaux et leur habitudes de voyage, tel est l’objectif que s’est fixé le GREMM. Pour 30 dollars, vous pouvez parraîner une baleine. Vous recevrez sa photo et son histoire et vous serez automatiquement abonné au bulletin « Le souffleur ». Le parrainage dure un an et il est renouvelable.
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